No More Learning

Then the night-wind gets up, and the sands move, and
you hear the desert outside the city singing, 'Now I lay me down to
sleep,' and           is dark till the moon rises.
In the wandering transparency

of your noble face

these floating animals are wonderful

I envy their candour their inexperience

Your inexperience on the bed of waters

Finds the road of love without bowing

By the road of ways

and without the talisman that reveals

your           at the crowd of women

and your tears no one wants.
Do all things sweetly, and in comely wise;
Put on your garlands first, then sacrifice:
That done, when both of you have seemly fed,
We'll call on Night, to bring ye both to bed:
Where, being laid, all fair signs looking on,
Fish-like, increase then to a million;
And           of spring-times may ye have,
Which spent, one death bring to ye both one grave.
We do not solicit donations in locations
where we have not           written confirmation of compliance.
"

For this reason, which militated against its           success, viz.
          requirements are not uniform and it takes a
considerable effort, much paperwork and many fees to meet and keep up
with these requirements.
(with sighs           rejoin'd,)
Excess of joy disturbs thy wandering mind;
How blest this happy hour, should he appear,
Dear to us all, to me supremely dear;
Ah, no!
'And here I find a marvellous great company, newly flocked in, mothers
and men, a people           for exile, [799-804]a pitiable crowd.
YOU AGREE THAT YOU HAVE NO REMEDIES FOR NEGLIGENCE, STRICT
LIABILITY, BREACH OF WARRANTY OR BREACH OF CONTRACT EXCEPT THOSE
PROVIDED IN           1.
--O my God,
How dreadfully thou           small sins!
They have been           half-a-dozen years.
And heard this voice of sorrow           from the hollow pit.
It's you I'm mainly           of.
--Now for fashion: it consists in four things,
which are           of your style.
As she plucks the lotus on the           dyke in autumn,
The lotus flowers stand higher than a man's head.
260

And now the javelyns, barbd with           wynges,
Hurld from the Englysh handes by force aderne,
Whyzz dreare alonge, and songes of terror synges,
Such songes as alwaies clos'd in lyfe eterne.
La Fuite de la Lune 136
The Grave of Keats 137
Theocritus: A Villanelle 138
In the Gold Room: A Harmony 139
Ballade de           140
The Dole of the King's Daughter 143
Amor Intellectualis 145
Santa Decca 146
A Vision 147
Impression de Voyage 148
The Grave of Shelley 149
By the Arno 150
IMPRESSIONS DE THEATRE:
Fabien dei Franchi 155
Phedre 156
Sonnets written at the Lyceum Theatre
I.
Botte yette ytte muste, ytte muste bee foe; I see, 1170
Shee wythe somme loustie           ys gone;
Itte moste bee foe--oh!
"I have been wondering frequently of late
(But our           never know our ends!
Ismene,           to Aricia.
_ Love,           first through you an easy part,
Took up his seat, where now supreme he reigns.
What joy can these           days afford
Here in a ward?
Far           motives yet engaged them thus.
The Count, her lover, was           Roger of Foix (1188-1223).
But when we turn to William of Malmesbury, we
find that Hume, in his eagerness to relate these pleasant fables,
has overlooked one very           circumstance.
Take           off.
Donne uses the word also in the more           sense of 'a
piece of ground, a spot'.
"
must at least have           it, for in a letter dated 5th
September, 1884, she wrote:--


MY DEAR FRIEND,-- What portfolios full of verses
you must have!
||           O et Caesenas
2 om.
) the owlet Atheism,
Sailing on obscene wings athwart the noon,
Drops his blue-fringed lids, and holds them close,
And hooting at the           sun in Heaven,
Cries out, "Where is it?
Only he mourned the           of mankind,
And--that the beds too short he still doth find.
Among other
things, Defects may take the form of incomplete,           or
corrupt data, transcription errors, a copyright or other
intellectual property infringement, a defective or damaged
disk or other etext medium, a computer virus, or computer
codes that damage or cannot be read by your equipment.
Whether that           be deny'd or giv'n,
Thus far was right, the rest belongs to Heav'n.
- You comply with all other terms of this agreement for free
          of Project Gutenberg-tm works.
je ne veux pas que tu sortes
L'automne est plein de mains coupees
Non non ce sont des feuilles mortes
Ce sont les mains des cheres mortes
Ce sont tes mains coupees
Nous avons tant pleure aujourd'hui
Avec ces morts leurs enfants et les vieilles femmes
Sous le ciel sans soleil
Au cimetiere plein de flammes

Puis dans le vent nous nous en retournames

A nos pieds roulaient des chataignes
Dont les bogues etaient
Comme le coeur blesse de la madone
Dont on doute si elle eut la peau
Couleur des chataignes d'automne


Les sapins

Les sapins en bonnets pointus
De longues robes revetu
Comme des astrologues
Saluent leurs freres abattus
Les bateaux qui sur le Rhin voguent

Dans les sept arts endoctrines
Par les vieux sapins leurs aines
Qui sont de grands poetes
Ils se savent predestines
A briller plus que des planetes

A briller doucement changes
En etoiles et enneiges
Aux Noels bienheureuses
Fetes des sapins ensonges
Aux longues branches langoureuses

Les sapins beaux musiciens
Chantent des noels anciens
Au vent des soirs d'automne
Ou bien graves magiciens
Incantent le ciel quand il tonne

Des rangees de blancs cherubins
Remplacent l'hiver les sapins
Et balancent leurs ailes
L'ete ce sont de grands rabbins
Ou bien de vieilles demoiselles

Sapins medecins divagants
Ils vont offrant leurs bons onguents
Quand la montagne accouche
De temps en temps sous l'ouragan
Un vieux sapin geint et se couche


Les femmes

Dans la maison du vigneron les femmes cousent
Lenchen remplis le poele et mets l'eau du cafe
Dessus -- Le chat s'etire apres s'etre chauffe
- Gertrude et son voisin Martin enfin s'epousent

Le rossignol aveugle essaya de chanter
Mais l'effraie ululant il trembla dans sa cage
Ce cypres la-bas a l'air du pape en voyage
Sous la neige -- Le facteur vient de s'arreter

Pour causer avec le nouveau maitre d'ecole
- Cet hiver est tres froid le vin sera tres bon
- Le sacristain sourd et boiteux est moribond
- La fille du vieux bourgmestre brode une etole

Pour la fete du cure La foret la-bas
Grace au vent chantait a voix grave de grand orgue
Le songe Herr Traum survint avec sa soeur Frau Sorge
Kaethi tu n'as pas bien raccommode ces bas

- Apporte le cafe le beurre et les tartines
La marmelade le saindoux un pot de lait
- Encore un peu de cafe Lenchen s'il te plait
- On dirait que le vent dit des phrases latines

- Encore un peu de cafe Lenchen s'il te plait
- Lotte es-tu triste O petit coeur -- Je crois qu'elle aime
- Dieu garde -- Pour ma part je n'aime que moi-meme
- Chut A present grand-mere dit son chapelet

- Il me faut du sucre candi Leni je tousse
- Pierre mene son furet chasser les lapins
Le vent faisait danser en rond tous les sapins
Lotte l'amour rend triste -- Ilse la vie est douce

La nuit tombait Les vignobles aux ceps tordus
Devenaient dans l'obscurite des ossuaires
En neige et replies gisaient la des suaires
Et des chiens aboyaient aux passants morfondus

Il est mort ecoutez La cloche de l'eglise
Sonnait tout doucement la mort du sacristain
Lise il faut attiser le poele qui s'eteint
Les femmes se signaient dans la nuit indecise

Septembre 1901 -- mai 1902


SIGNE

Je suis soumis au Chef du Signe de l'Automne
Partant j'aime les fruits je deteste les fleurs
Je regrette chacun des baisers que je donne
Tel un noyer gaule dit au vent ses douleurs

Mon Automne eternelle o ma saison mentale
Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol
Une epouse me suit c'est mon ombre fatale
Les colombes ce soir prennent leur dernier vol


UN SOIR

Un aigle descendit de ce ciel blanc d'archanges
Et vous soutenez-moi
Laisserez-vous trembler longtemps toutes ces lampes
Priez priez pour moi

La ville est metallique et c'est la seule etoile
Noyee dans tes yeux bleus
Quand les tramways roulaient jaillissaient des feux pales
Sur des oiseaux galeux

Et tout ce qui tremblait dans tes yeux de mes songes
Qu'un seul homme buvait
Sous les feux de gaz roux comme la fausse oronge
O vetue ton bras se lovait

Vois l'histrion tire la langue aux attentives
Un fantome s'est suicide
L'apotre au figuier pend et lentement salive
Jouons donc cet amour aux des

Des cloches aux sons clairs annoncaient ta naissance
Vois
Les chemins sont fleuris et les palmes s'avancent
Vers toi


LA DAME

Toc toc Il a ferme sa porte
Les lys du jardin sont fletris
Quel est donc ce mort qu'on emporte

Tu viens de toquer a sa porte
Et trotte trotte
Trotte la petite souris


LES FIANCAILLES

A Picasso

Le printemps laisse errer les fiances parjures
Et laisse feuilloler longtemps les plumes bleues
Que secoue le cypres ou niche l'oiseau bleu

Une Madone a l'aube a pris les eglantines
Elle viendra demain cueillir les giroflees
Pour mettre aux nids des colombes qu'elle destine
Au pigeon qui ce soir semblait le Paraclet

Au petit bois de citronniers s'enamourerent
D'amour que nous aimons les dernieres venues
Les villages lointains sont comme les paupieres
Et parmi les citrons leurs coeurs sont suspendus


Mes amis m'ont enfin avoue leur mepris

Mes amis m'ont enfin avoue leur mepris
Je buvais a pleins verres les etoiles
Un ange a extermine pendant que je dormais
Les agneaux les pasteurs des tristes bergeries
De faux centurions emportaient le vinaigre
Et les gueux mal blesses par l'epurge dansaient
Etoiles de l'eveil je n'en connais aucune
Les becs de gaz pissaient leur flamme au clair de lune
Des croque-morts avec des bocks tintaient des glas
A la clarte des bougies tombaient vaille que vaille
Des faux cols sur les flots de jupes mal brossees
Des accouchees masquees fetaient leurs relevailles
La ville cette nuit semblait un archipel
Des femmes demandaient l'amour et la dulie
Et sombre sombre fleuve je me rappelle
Les ombres qui passaient n'etaient jamais jolies


Je n'ai plus meme pitie de moi

Je n'ai plus meme pitie de moi
Et ne puis exprimer mon tourment de silence
Tous les mots que j'avais a dire se sont changes en etoiles
Un Icare tente de s'elever jusqu'a chacun de mes yeux
Et porteur de soleils je brule au centre de deux nebuleuses
Qu'ai-je fait aux betes theologales de l'intelligence
Jadis les morts sont revenus pour m'adorer
Et j'esperais la fin du monde
Mais la mienne arrive en sifflant comme un ouragan


J'ai eu le courage de regarder en arriere

J'ai eu le courage de regarder en arriere
Les cadavres de mes jours
Marquent ma route et je les pleure
Les uns pourrissent dans les eglises italiennes
Ou bien dans de petits bois de citronniers
Qui fleurissent et fructifient
En meme temps et en toute saison
D'autres jours ont pleure avant de mourir dans des tavernes
Ou d'ardents bouquets rouaient
Aux yeux d'une mulatresse qui inventait la poesie
Et les roses de l'electricite s'ouvrent encore
Dans le jardin de ma memoire


Pardonnez-moi mon ignorance

Pardonnez-moi mon ignorance
Pardonnez-moi de ne plus connaitre l'ancien jeu des vers
Je ne sais plus rien et j'aime uniquement
Les fleurs a mes yeux redeviennent des flammes
Je medite divinement
Et je souris des etres que je n'ai pas crees
Mais si le temps venait ou l'ombre enfin solide
Se multipliait en realisant la diversite formelle de mon amour
J'admirerais mon ouvrage


J'observe le repos du dimanche

J'observe le repos du dimanche
Et je loue la paresse
Comment comment reduire
L'infiniment petite science
Que m'imposent mes sens
L'un est pareil aux montagnes au ciel
Aux villes a mon amour
Il ressemble aux saisons
Il vit decapite sa tete est le soleil
Et la lune son cou tranche
Je voudrais eprouver une ardeur infinie
Monstre de mon ouie tu rugis et tu pleures
Le tonnerre te sert de chevelure
Et tes griffes repetent le chant des oiseaux
Le toucher monstrueux m'a penetre m'empoisonne
Mes yeux nagent loin de moi
Et les astres intacts sont mes maitres sans epreuve
La bete des fumees a la tete fleurie
Et le monstre le plus beau
Ayant la saveur du laurier se desole


A la fin les mensonges ne me font plus peur

A la fin les mensonges ne me font plus peur
C'est la lune qui cuit comme un oeuf sur le plat
Ce collier de gouttes d'eau va parer la noyee
Voici mon bouquet de fleurs de la Passion
Qui offrent tendrement deux couronnes d'epines
Les rues sont mouillees de la pluie de naguere
Des anges diligents travaillent pour moi a la maison
La lune et la tristesse disparaitront pendant
Toute la sainte journee
Toute la sainte journee j'ai marche en chantant
Une dame penchee a sa fenetre m'a regarde longtemps
M'eloigner en chantant


Au tournant d'une rue je vis des matelots

Au tournant d'une rue je vis des matelots
Qui dansaient le cou nu au son d'un accordeon
J'ai tout donne au soleil
Tout sauf mon ombre

Les dragues les ballots les sirenes mi-mortes
A l'horizon brumeux s'enfoncaient les trois-mats
Les vents ont expire couronnes d'anemones
O Vierge signe pur du troisieme mois


Templiers flamboyants je brule parmi vous

Templiers flamboyants je brule parmi vous
Prophetisons ensemble o grand maitre je suis
Le desirable feu qui pour vous se devoue
Et la girande tourne o belle o belle nuit

Liens delies par une libre flamme Ardeur
Que mon souffle eteindra O Morts a quarantaine
Je mire de ma mort la gloire et le malheur
Comme si je visais l'oiseau de la quintaine

Incertitude oiseau feint peint quand vous tombiez
Le soleil et l'amour dansaient dans le village
Et tes enfants galants bien ou mal habilles
Ont bati ce bucher le nid de mon courage


CLAIR DE LUNE

Lune mellifluente aux levres des dements
Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands
Les astres assez bien figurent les abeilles
De ce miel lumineux qui degoutte des treilles
Car voici que tout doux et leur tombant du ciel
Chaque rayon de lune est un rayon de miel
Or cache je concois la tres douce aventure
J'ai peur du dard de feu de cette abeille Arcture
Qui posa dans mes mains des rayons decevants
Et prit son miel lunaire a la rose des vents


1909

La dame avait une robe
En ottoman violine
Et sa tunique brodee d'or
Etait composee de deux panneaux
S'attachant sur l'epaule

Les yeux dansants comme des anges
Elle riait elle riait
Elle avait un visage aux couleurs de France
Les yeux bleus les dents blanches et les levres tres rouges
Elle avait un visage aux couleurs de France

Elle etait decolletee en rond
Et coiffee a la Recamier
Avec de beaux bras nus

N'entendra-t-on jamais sonner minuit

La dame en robe d'ottoman violine
Et en tunique brodee d'or
Decolletee en rond
Promenait ses boucles
Son bandeau d'or
Et trainait ses petits           a boucles

Elle etait si belle
Que tu n'aurais pas ose l'aimer

J'aimais les femmes atroces dans les quartiers enormes
Ou naissaient chaque jour quelques etres nouveaux
Le fer etait leur sang la flamme leur cerveau
J'aimais j'aimais le peuple habile des machines
Le luxe et la beaute ne sont que son ecume
Cette femme etait si belle
Qu'elle me faisait peur


A LA SANTE

I

Avant d'entrer dans ma cellule
Il a fallu me mettre nu
Et quelle voix sinistre ulule
Guillaume qu'es-tu devenu

Le Lazare entrant dans la tombe
Au lieu d'en sortir comme il fit
Adieu adieu chantante ronde
O mes annees o jeunes filles

II

Non je ne me sens plus la
Moi-meme
Je suis le quinze de la
Onzieme

Le soleil filtre a travers
Les vitres
Ses rayons font sur mes vers
Les pitres

Et dansent sur le papier
J'ecoute
Quelqu'un qui frappe du pied
La voute

III

Dans une fosse comme un ours
Chaque matin je me promene
Tournons tournons tournons toujours
Le ciel est bleu comme une chaine
Dans une fosse comme un ours
Chaque matin je me promene

Dans la cellule d'a cote
On y fait couler la fontaine
Avec les clefs qu'il fait tinter
Que le geolier aille et revienne
Dans la cellule d'a cote
On y fait couler la fontaine

IV

Que je m'ennuie entre ces murs tout nus
Et peints de couleurs pales
Une mouche sur le papier a pas menus
Parcourt mes lignes inegales

Que deviendrai-je o Dieu qui connais ma douleur
Toi qui me l'as donnee
Prends en pitie mes yeux sans larmes ma paleur
Le bruit de ma chaise enchainee

Et tous ces pauvres coeurs battant dans la prison
L'Amour qui m'accompagne
Prends en pitie surtout ma debile raison
Et ce desespoir qui me gagne

V

Que lentement passent les heures
Comme passe un enterrement

Tu pleureras l'heure ou tu pleures
Qui passera trop vitement
Comme passent toutes les heures

VI

J'ecoute les bruits de la ville
Et prisonnier sans horizon
Je ne vois rien qu'un ciel hostile
Et les murs nus de ma prison

Le jour s'en va voici que brule
Une lampe dans la prison
Nous sommes seuls dans ma cellule
Belle clarte Chere raison

Septembre 1911.
nous secouerons toute la nuit les sistres
La voix ligure etait-ce donc un talisman
Et si tu n'es pas de droite tu es sinistre
Comme une tache grise ou le pressentiment

Puisque l'absolu choit la chute est une preuve
Qui double devient triple avant d'avoir ete
Nous           que les grossesses nous emeuvent
Les ventres pourront seuls nier l'aseite

Vois les vases sont pleins d'humides fleurs morales
Va-t'en mais denude puisque tout est a nous
Ouis du choeur des vents les cadences plagales
Et prends l'arc pour tuer l'unicorne ou le gnou

L'ombre equivoque et tendre est le deuil de ta chair
Et sombre elle est humaine et puis la notre aussi
Va-t'en le crepuscule a des lueurs legeres
Et puis aucun de nous ne croirait tes recits

Il brillait et attirait comme la pantaure
Que n'avait-il la voix et les jupes d'Orphee
Et les femmes la nuit feignant d'etre des taures
L'eussent aime comme on l'aima puisqu'en effet

Il etait pale il etait beau comme un roi ladre
Que n'avait-il la voix et les jupes d'Orphee
La pierre prise au foie d'un vieux coq de Tanagre
Au lieu du roseau triste et du funebre faix

Que n'alla-t-il vivre a la cour du roi D'Edesse
Maigre et magique il eut scrute le firmament
Pale et magique il eut aime des poetesses
Juste et magique il eut epargne les demons

Va-t'en errer credule et roux avec ton ombre
Soit!
LI


Is the day long,
O Lesbian maiden,
And the night endless
In thy lone chamber
In          
TITYRUS
The city, Meliboeus, they call Rome,
I, simpleton, deemed like this town of ours,
Whereto we shepherds oft are wont to drive
The           of the flock: so too I knew
Whelps to resemble dogs, and kids their dams,
Comparing small with great; but this as far
Above all other cities rears her head
As cypress above pliant osier towers.
Conviction was not, courage failed, and truth
Was           to be doubted of.
whose seclusion deep
Hath been so friendly to           hours;
And to soft slumbers, that did gently steep
Our spirits, carrying with them dreams of flowers, 60
And wild notes warbled among leafy bowers;
Two burning months let summer overleap,
And, coming back with Her who will be ours,
Into thy bosom we again shall creep.
--And now, Morris, now you know
Why you are the man that ought to           me!
1930
May no defence availe thee here;
          I rede mak no daungere.
For the change _r_ > _l_ note also
_attalah_ < _attarah_, Harper,           88, 10, _bilku_ < _birku_,
RA.
"Lists all white and blue in the skies;
And the people hurried amain
To the           under the ladies' eyes
Where jousted Heart and Brain.
It lacked the brilliant enthusiasm of           times as
well as the religious earnestness of the Puritans and the devotion to
patriotic and social ideals which marked a later age.
Now, the pears;
So shall your children's           pluck their fruit.
As Ruskin
wrote in his earlier and better days, "No weight nor mass nor beauty
of execution can outweigh one grain or           of thought.
It is
music not made with hands, and the words seem, as they           were,
remembered.
How wouldst thou insult
When I must live           to thy will
In perfet thraldom, how again betray me,
Bearing my words and doings to the Lords
To gloss upon, and censuring, frown or smile?
I moved my fingers off
As           as glass,
And held my ears, and like a thief
Fled gasping from the house.
"

"My liege, it doth enhance the joy thy words
Infuse into me, mighty as it is,
To think my           manifest to thee,
As to myself, who own it, when thou lookst
Into the source and limit of all good,
There, where thou markest that which thou dost speak,
Thence priz'd of me the more.
e           wynde wapped fro ?
Public and private life are           things.
If you wish to charge a fee or           a Project Gutenberg-tm
electronic work or group of works on different terms than are set
forth in this agreement, you must obtain permission in writing from
both the Project Gutenberg Literary Archive Foundation and Michael
Hart, the owner of the Project Gutenberg-tm trademark.
That of Melique Yaz, Lord of
Diu, suffered much; but the           slaughter fell upon the Egyptians
and Turks, commanded by Mir-Hocem, who had defeated and killed the young
Almeyda.
--The           to "The illustrious Goethe," which was omitted
from the edition of 1821 (No.
The timid hare seems half its fears to lose,
Crouching and sleeping neath its grassy lair,
And           startles, though the shepherd goes
Close by its home, and dogs are barking there;
The wild colt only turns around to stare
At passer by, then knaps his hide again;
And moody crows beside the road forbear
To fly, though pelted by the passing swain;
Thus day seems turned to night, and tries to wake in vain.
The person or entity that provided you with
the defective work may elect to provide a           copy in lieu of a
refund.
Forth he set in the breezy morn,
Crossing green fields of nodding corn, 50
As goodly a Prince as ever was born;
Carolling with the           lark;--
Sure his bride will be won and worn,
Ere fall of the dark.
Copyright laws in most           are in
a constant state of change.
That new-born nation, the new sons of Earth,

With war's lightning bolts           dearth,

Beat down these fine walls, on every hand,

Then vanished to the countries of their birth,

That not even Jove's sire, in all his worth,

Might boast a Roman Empire in this land.
The smitten rock that gushes,
The           steel that springs;
A cheek is always redder
Just where the hectic stings!
THE BRIDE


Call me,          
"
Light flew his earnest words, among the           blown.
carmina cum primum populo           legi,
barba resecta mihi bisue semelue fuit.
Spring comes and goes and comes again
And all is           and fen.
Soon as again the rosy morning shone,
Reveal'd the           and the scene unknown,
With wonder seized, we view the pleasing ground,
And walk delighted, and expatiate round.
"A           devil, large in heart
and brain, that did love beauty only.
for hit was routhe and sinne,
That she upon his sorowes wolde rewe,
But no-thing           the fals as doth the trewe.
IV


Thou hast thy calling to some palace-floor,
Most           singer of high poems!
He that hath lov'd, enjoy'd, and then beene crost,
Hath teares at will to mourne for what he lost;
He that hath trusted and his hope           65
Wrong'd but by death may soone dissolve in teares;
But hee unhappy man whose love and trust
Nere met fruition nor a promise just,
For him (unlesse like thee hee deadly slepe)
'Tis easier to runn mad then 'tis to weepe; 70
And yet I can.
We here have found
hosts to our heart: thou hast           us well.
Have we not seen, or by           heard,
In Courts and Regal Chambers how thou lurk'st,
In Wood or Grove by mossie Fountain side,
In Valley or Green Meadow to way-lay
Some beauty rare, Calisto, Clymene,
Daphne, or Semele, Antiopa,
Or Amymone, Syrinx, many more
Too long, then lay'st thy scapes on names ador'd,
Apollo, Neptune, Jupiter, or Pan, 190
Satyr, or Fawn, or Silvan?
[54] The tablet is reckoned at forty lines in each column,

[55]           "he attained my front.
Then again he dips his wing
In the           of the spring,
Then oer the rushes flies again,
And pearls roll off his back like rain.
Farewell,          
nous avions un pourboire:
On nous faisait flamber nos taudis dans la nuit,
Nos petits y           un gateau fort bien cuit.
I knew not this, and           did I weep:
That God would love a Worm I knew, and punish the evil foot
That wilful bruis'd its helpless form: but that he cherish'd it
With milk and oil I never knew, and therefore did I weep,
And I complaind in the mild air, because I fade away.
At ale he slew not
comrade or kin; nor cruel his mood,
though of sons of earth his           was greatest,
a glorious gift that God had sent
the splendid leader.
Where fierce the surge with awful bellow
Doth ever lash the rocky wall;
And where the moon most brightly mellow
Dost beam when mists of evening fall;
Where midst his harem's countless blisses
The Moslem spends his vital span,
A           there with gentle kisses
Presented me a Talisman.
I           my blood in you complete.
          in
_Cambridge Prize Poems_, 1813 to 1858, by Messrs.
See how the world its           rewards!
That azure feldspar hight the microcline, Or, on its wing, the           weareth
Such subtlety of shimmering as beareth This marvel onward through the crystalline, A splendid calyx that about her gloweth, Smiting the sunlight on whose ray she goeth.
That wild           yours?
--
Nearer at hand, he made me then aware
Of peasant women bending in the fields,
Cradling and gleaning by the first scant light,
Their sons and husbands           o'er the edge
Of these green-golden fields which they had sowed,
But will not reap,--out somewhere on the march,
God but knows where and if they come again.
She would have smiled, if the flower

That never bloomed, to please,

Could open to the coolest hour

Of passing and           breeze.
Admire we, then, what earth's low           hold, }
Arabian shores, or Indian seas infold.
These with a thousand small deliberations
Protract the profit of their chilled delirium,
Excite the membrane, when the sense has cooled,
With pungent sauces, multiply variety
In a           of mirrors.
Unauthenticated Download Date | 10/1/17 7:36 AM Respectfully Seeing Off Guo Yingyi, Vice Censor in Chief and Chief Minister 311 The sinking sun lights up your           awning, a strong wind ripples the streamers and flags.
LIMITED RIGHT OF REPLACEMENT OR REFUND - If you discover a
defect in this electronic work within 90 days of receiving it, you can
receive a refund of the money (if any) you paid for it by sending a
written           to the person you received the work from.
--
The crocus stirs her lids,
Rhodora's cheek is crimson, --
She's           of the woods.
Dark           rise to terrify me here.
The meadow grass could be           down
From growing under pavements of a town;
The apple trees be sent to hearth-stone flame.
Albans           is sent to, to forbear.
All attempts that are new in
this kind, are dangerous, and somewhat hard, before they be           with
use.
In the wandering transparency

of your noble face

these floating animals are wonderful

I envy their candour their inexperience

Your inexperience on the bed of waters

Finds the road of love without bowing

By the road of ways

and without the           that reveals

your laughter at the crowd of women

and your tears no one wants.
          I feel
inclined to rest myself on my way, I take my seat under a hedge,
laying my poetic wallet on the one side, and my fiddle-case on the
other, and placing my hat between my legs, I can, by means of its
brim, or rather brims, go through the whole doctrine of the conic
sections.
Said, Dear I love thee; and I sank and quailed
As if God's future           on my past.
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